École et autonomie culturelle. Enquête pancanadienne en milieu scolaire francophone minoritaire
Année :
2010
Auteur(e) :
Maison d'édition :
, Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques et Patrimoine canadien
Résumé
Ce rapport de recherche dresse un profil sociolangagier pancanadien des élèves de 11e année qui fréquentent des écoles secondaires de langue française dans les conseils scolaires francophones formant la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF).
Trente des 31 conseils scolaires ont participé à l’étude.1 Ce profil permet de prendre connaissance des vécus langagiers de ces élèves qui finiront bientôt leurs études secondaires et d’apprécier leur développement psycholangagier dans une grande variété de contextes de vitalité. L’étude mesure leurs contacts avec les langues française et anglaise depuis leur enfance, tant sur le plans de la quantité que de la qualité. Elle se propose aussi de mesurer les résultats de cette socialisation ethnolangagière bilingue, ce qui permet ainsi de jeter un regard éclairant sur la construction identitaire des élèves, sur leurs croyances à l’égard de la vitalité relative des communautés francophones et anglophones sur leurs motivations en matière de l’apprentissage et de l’usage des deux langues officielles du pays, sur leurs compétences langagières et, enfin, sur leurs divers comportements langagiers.
1Seul le conseil scolaire du Nunavut n’a pu participer puisque son école n’offrait pas de programme d’enseignement en français après la 9e année.
Trente des 31 conseils scolaires ont participé à l’étude.1 Ce profil permet de prendre connaissance des vécus langagiers de ces élèves qui finiront bientôt leurs études secondaires et d’apprécier leur développement psycholangagier dans une grande variété de contextes de vitalité. L’étude mesure leurs contacts avec les langues française et anglaise depuis leur enfance, tant sur le plans de la quantité que de la qualité. Elle se propose aussi de mesurer les résultats de cette socialisation ethnolangagière bilingue, ce qui permet ainsi de jeter un regard éclairant sur la construction identitaire des élèves, sur leurs croyances à l’égard de la vitalité relative des communautés francophones et anglophones sur leurs motivations en matière de l’apprentissage et de l’usage des deux langues officielles du pays, sur leurs compétences langagières et, enfin, sur leurs divers comportements langagiers.
1Seul le conseil scolaire du Nunavut n’a pu participer puisque son école n’offrait pas de programme d’enseignement en français après la 9e année.
Thème :
Autonomie culturelleFrancophones hors QuébecMilieu scolaire