Études universitaires en français en Ontario : entre motivations personnelles et contraintes institutionnelles
Année :
2016
Auteur(e) :
Volume et numéro :
, 11
Maison d'édition :
, Société Charlevoix
Revue :
, Cahiers Charlevoix
Pages :
, 157-191
Résumé
L’étude de Julie Boissonneault s’inscrit dans le droit fil de ses préoccupations depuis plus d’une décennie et en parfait synchronisme avec les revendications contemporaines des étudiants francophones, spécialement celles de 2014 et 2015, pour le droit à l’université de langue française en Ontario. Portant son regard sur la fréquentation des établissements universitaires, elle se demande dans quelle langue les Franco-Ontariens font leur scolarité. Sont alors mises en jeu la langue maternelle et la langue de la scolarité à l’élémentaire et au secondaire comme vecteur de leur motivation à étudier en français au palier supérieur. Pour mener à terme son projet, elle analyse le discours même d’un groupe d’étudiants inscrits à l’Université Laurentienne en 2005, obtenu à l’aide d’un questionnaire par lequel ils expriment leurs motivations. L’article lève ainsi le voile sur une facette peu explorée dans le choix d’étudier dans la langue de la minorité : celle des contraintes institutionnelles qui entravent l’intention et la réalisation des études universitaires en français.
Thème :
Communautés de langue officielleÉducationFormation linguistiqueFrancophones hors QuébecLangues officiellesMinorités linguistiquesOntario
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